Episode 2 : Mon premier article vous a-t-il donné envie de connaître la suite? Hein? Mais bien sûr que oui! euh... enfin rassurez-moi, vous avez bien envie de voir la suite n'est-ce pas? Que je ne me fatigue pas pour rien non plus quand même.
Mais non je rigole, je sais bien qu'en réalité vous mourrez d'envie de découvrir toutes ces belles images que j'ai capturées lors de ce petit trip vacances du mois de Juin dans le Nord de l'Australie, où pour un hiver, le temps s'est révélé plus qu'estival.Cette étape du voyage nous a donc emmenés à l'Uluru, en début de soirée ou plutôt fin d'aprem, juste à temps pour parcourir la distance restante jusqu'à l'Ayers Rock, en faire le tour rapide puis, surtout, le meilleur du meilleur... le coucher de soleil, le "sunset" sur l'Ayers Rock, qui lui donne toute sa dimension et en particulier lui justifie son appellation de "rocher rouge".
Je vous offre ainsi des photos en exclusivité -ou presque- de ce rocher connu du monde entier, de près comme de loin. Vous aurez le droit à une analyse détaillée de tous les recoins du rocher dessus, dessous ou encore devant, derrière... Vous pouvez d'ailleurs observer la rampe pour grimper sur ce petit caillou, ainsi que des peintures aborigènes.
Je ne l'ai épargné d'aucun côté, le pauvre. Il faut savoir aussi, que cet Ayers Rock est un lieu particulier. C'est un lieu considéré comme sacré, lieu de culte des aborigènes à l'origine -avant que les hommes plus ou moins civilisés ne viennent conquérir un territoire et se l'approprier comme leur propre découverte alors que ce territoire a toujours été occupé et habité par des êtres humain, considérés comme sauvages, qui sont donc ces aborigènes. Ce sont des sortes d'indiens d'Australie, qui avaient la priorité, par nature et par naissance sur cette terre australe mais qui en ont été presque chassés et se retrouvent aujourd'hui à errer dans les pseudo rues des villes du nord, sans réellement d'aides, de logement ou autre. Ils ont fini par connaître les dégâts de l'alcool...
Je ne vais pas vous gâcher votre plaisir dans cet article, mais la vérité ne doit pas pour autant nous échapper, en nous laissant éblouir par la beauté des paysages et les infrastructures à notre disposition afin de profiter de tout ça. Comme je vous l'ai mentionné précédemment, l'autoroute australienne, cette highway que tout le monde prend avec une limite de vitesse de 130km/h, normal me direz-vous, mais pour une route traversant le désert de part en part, sans d'autre barrière que quelques buissons éparses... je vous laisse imaginer quelques fâcheux désagréments, bien tristes dont je reparlerais...
Je vous offre ainsi des photos en exclusivité -ou presque- de ce rocher connu du monde entier, de près comme de loin. Vous aurez le droit à une analyse détaillée de tous les recoins du rocher dessus, dessous ou encore devant, derrière... Vous pouvez d'ailleurs observer la rampe pour grimper sur ce petit caillou, ainsi que des peintures aborigènes.
Je ne l'ai épargné d'aucun côté, le pauvre. Il faut savoir aussi, que cet Ayers Rock est un lieu particulier. C'est un lieu considéré comme sacré, lieu de culte des aborigènes à l'origine -avant que les hommes plus ou moins civilisés ne viennent conquérir un territoire et se l'approprier comme leur propre découverte alors que ce territoire a toujours été occupé et habité par des êtres humain, considérés comme sauvages, qui sont donc ces aborigènes. Ce sont des sortes d'indiens d'Australie, qui avaient la priorité, par nature et par naissance sur cette terre australe mais qui en ont été presque chassés et se retrouvent aujourd'hui à errer dans les pseudo rues des villes du nord, sans réellement d'aides, de logement ou autre. Ils ont fini par connaître les dégâts de l'alcool...
Je ne vais pas vous gâcher votre plaisir dans cet article, mais la vérité ne doit pas pour autant nous échapper, en nous laissant éblouir par la beauté des paysages et les infrastructures à notre disposition afin de profiter de tout ça. Comme je vous l'ai mentionné précédemment, l'autoroute australienne, cette highway que tout le monde prend avec une limite de vitesse de 130km/h, normal me direz-vous, mais pour une route traversant le désert de part en part, sans d'autre barrière que quelques buissons éparses... je vous laisse imaginer quelques fâcheux désagréments, bien tristes dont je reparlerais...